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it takes two to tango ; pío

2 participants
Nicky Valentyne
aucune suspicion

Nicky Valentyne

saisons : vingt-sept ans
occupation : barman au indigo alley
myocarde : charmeur évasif
miroir : it takes two to tango ; pío 40a4672a94ba669f5814238cbd963bd4
faciès & artiste : tom blyth (deadpool)
victimes : 208

online

it takes two to tango


❝ ❞


Ta présence aux soirées de tango organisées à Scarborough est imprévisible, variant selon tes horaires et tes humeurs. Ton intérêt a néanmoins été plus que piqué lorsque les professeurs en charge des classes ont envoyé une infolettre à propos d’une milonga organisée au Falsgrave Park. En plein air, avec un plancher de bois aménagé pour l’occasion, une excellente sonorisation et une belle illumination, au cœur de l’herbe tendre de la colline. La température sera peut-être fraîche, mais il en faut davantage pour t’effrayer. Séduit par l’idée, tu as organisé tes congés et te voilà donc.

Un peu en retard, mais tu ne t’en formalises pas.

La musique te guide plus que ta vue dans le noir de la nuit et tu prends quelques instants à l’écart afin d’admirer l’aménagement temporaire. La soirée est déjà commencée et les couples vont et viennent sur le plancher verni, alors que d’autres patientent sur le bord de la piste temporaire. Pas de miroirs dans lesquels se mirer pour corriger une posture, une forme, un pas. Que les yeux rapaces des professeurs pour suivre la cadence et les applaudissements des autres participants. Le vent qui siffle entre les arbres en instrument supplémentaire.

Tu as pris le parti d’une élégance certaine pour cette milonga extraordinaire. Rare, cette élégance, pour qui te sait toujours en jeans et t-shirt noir derrière ton bar, ton sourire lumineux et ta boucle d’oreille en or en seules coquetteries. Appréciable et appréciée, aussi, pour ces rares instants où tu as l’occasion de clean up nicely.

De loin, tu salues les professeurs, ton sourire comme toute excuse pour ton manque de ponctualité. Tu longes la piste de danse, ombre discrète derrière les participants. Ce faisant, tu remarques un homme que tu connais… oh, bien n’est définitivement pas le mot, mais dont le faciès t’est plus que familier. Tu le fixes quelques secondes, jusqu’à ce que le poids de tes prunelles se fasse sentir sur sa nuque. Tu lui accordes un léger salut de la tête, lorsqu’il se retourne vers toi. Tu franchis les quelques pas qui vous séparent d’un pas élastique « Vous êtes une agréable surprise. » Tu ne cherches pas vraiment à connaître les clients du Indigo Alley, une fois le comptoir dépassé. Une affaire de professionnalisme, dirais-tu avec simplicité, ou quelque chose descendant d’un obscur bartender code ― le barman se doit de rester mystérieux et inaccessible pour attirer les pourboires, n’est-ce pas ? Ce serait néanmoins mentir de prétendre que Pío n’a pas attisé ton intérêt. « Si j’avais su, je serais arrivé plus tôt. » Les habitudes ont la vie dure, pourrait-on croire lorsqu’il glisse dans ses habituelles manières charmeuses, mais… ce serait faux de prétendre qu’il ment.

Pío Blumenthal
aucune suspicion

Pío Blumenthal

saisons : quarante-sixième printemps dans ce monde étrange qui ne cesse de l'intriguer et de l'émerveiller.
occupation : propriétaire excentrique de la Scarborough Art Gallery, artiste et copiste de talent, disponible à faire des faux pour des particuliers. Ancien consultant pour l'office central de lutte contre le trafic des biens culturels pour son expertise en art, il offre encore ses services aux autorités.
myocarde : fraîchement célibataire, rupture dont il peine à faire le deuil, même s'il tente de faire bonne figure. Il ne cherche pas de remplaçant, la relation qui avait fleuri était l'anomalie de sa vie sentimentale inexistante.
miroir : it takes two to tango ; pío C34aruj
faciès & artiste : daniel brühl. PROFIL | (avatar) writerinafoxhole. (gifs&icon) writerinafoxhole. SIGN | (code) writerinafoxhole.
victimes : 2592


it takes two to tango


❝ ❞


Une soirée tango sous le ciel étoilé de Scarborough. Voilà une idée qui plaisait à Pío, bien que cela impliquait de danser sous le regard de potentiel curieux. Ce n'était pas le premier été que les professeurs organisaient ce genre d'événement, et l'homme y avait toujours mis un point d'honneur à y participer, sauf s'il était annulé, mais c'était uniquement le cas lors d'annonce de pluie torrentielle. Présent oui, mais c'était toujours un challenge pour l'homme pudique qu'il était, car même en compagnie du visage familier de ses professeurs et des élèves qui fréquentaient le cours, Pío se sentait toujours un peu plus à découvert lors des soirées en plein air. Angoisse qui ne durait que l'espace d'un instant, avant l'événement, similaire au tract des artistes avant d'entrer sur scène, et après une fois chez lui, lorsque le doute venait le frapper, questionnant sa capacité à retenter l'expérience. C'était aussi la sensation d'avoir été ridicule, parce que l'espace d'un instant, il avait lâché prise, moment suspendu dans le temps qui le dépassait souvent. Et cette sensation de mise à nu était celle d'un homme qui tenait à sa vie privée, s'obstinant à la compartimenter pour aucune autre raison que celle de préserver certain secret, certain plaisir rien que pour lui. Lors des cours de tango, personne ne le connaissait, à la limite, on pouvait le reconnaître si on était un habitué de la galerie d'art, mais ici, il n'était qu'un danseur parmi d'autres, c'était ce qui lui plaisait aussi.

La nuit n'était pas encore complètement tombée, mais l'obscurité avait déjà enveloppé le parc, et si Pío était venu seul, comme toujours, il s'était rapidement retrouvé au bras de l'un·e de ses professeur·e, une aubaine pour l'homme et l'élève qui appréciait se retrouver guider dans l'improvisation de ses maîtres. Au tango, il n'y avait pas de séquences à apprendre par cœur, il y avait bien quelques pas, mais surtout des techniques, qu'il fallait ensuite appliquer au fil de la danse, afin de créer une marche à quatre jambes. L'art de l'improvisation et l'échange des énergies créatives, il ne s'agissait pas de réfléchir, mais de sentir. Depuis le temps qu'il l'exerçait, on lui avait souvent fait remarquer qu'il avait plus que le niveau, mais son choix de continuer à prendre des cours, était parce que le challenge était ailleurs. Celui du contact, d'apprendre des autres à la fois en guidant, mais aussi en se laissant guider. Lâcher prise, tout en laissant l'instinct prendre le dessus, exercice loin d'être aussi naturel, et ce, malgré ses années de pratique, pourtant, il en était bien capable, et ces moments-là, il les chérissait. De plus, s'il y avait une alchimie, alors la marche était plus que réussie.

Libérant l'un de ses professeurs, il retournait se mettre à l'écart du plancher, afin d'observer les couples circulant dans un ballet aux techniques et approche différente. Emporté dans son observation, ce n'est que lorsqu'il sentit une présence derrière lui que son regard abandonnait les danseurs pour se poser sur le visage familier de Nicky. Surpris, lui aussi l'était, son expression s'illuminant par un sourire chaleureux pour saluer le jeune homme qu'il avait habitude de voir uniquement de la tête à la taille derrière le bar de l'Indigo Alley. « Nicky, bonsoir. Le saluait-il, un léger rire s'échappant de ses lèvres, un heureux et agréable hasard partagé. Affirmait-il, comment allez-v il s'interrompait, sentant une main sur son épaule. C'était l'une des professeures qui déclarait d'un ton enjoué. Nicky ! Vous êtes en retard, mais vous tombez bien, nous étions en train de nous partager la compagnie de Pío. Nous pouvons donc vous le prêter, vous serez entre de bonnes mains ! »

Nouveau rire, cette fois embarrassé, du concerné, alors que la professeure repartait aussi vite, allant voler au secours d'un des couples qui venait de partir dans le sens inverse du groupe. Le regard brun de Pío venait de nouveau se poser sur le barman, ses mains glissant dans les poches de son pantalon noir, « Dansez-vous depuis longtemps ? Je n'ai pas eu la chance de vous croiser sur le parquet par le passé. » Et maintenant, c'était un secret de plus qu'il partageait avec le jeune homme, bien que loin d'être gênant ou problématique, il savait qu'il pourrait compter sur sa discrétion. C'était le genre d'information que si elles venaient aux oreilles de certains de ses comparses, viendrait briser tout un mythe dont il s'amusait encore à alimenter. Ce même Pío Blumenthal pouvait aussi bien se retrouver dans une salle de concert d'un groupe de métal réputé comme étant de niche, que sur le parquet d'une milonga.

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Creatures of the Night
they long for the days of pumpkins and ghosts,
when the dead use homes and people as hosts...



Nicky Valentyne
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Nicky Valentyne

saisons : vingt-sept ans
occupation : barman au indigo alley
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miroir : it takes two to tango ; pío 40a4672a94ba669f5814238cbd963bd4
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it takes two to tango


❝ ❞


La surprise est partagé, la joie aussi. « Je suis certain que je serai entre d’excellentes mains », acquiesces-tu avec énergie, lorsque la professeure vient te confier la responsabilité de Pío ― ou est-ce le contraire ? À discuter. Dans ton œil, c’est gagnant, peu importe comment c’est interprété. Quant à l’embarras léger qui semble émaner de Pío, tu es curieux de l’investiguer. Embarrassé de passer un moment avec le barman, autant dire les petites mains, ou que tu aies accidentellement découvert quelque chose à son sujet ? « Dansez-vous depuis longtemps ? Je n'ai pas eu la chance de vous croiser sur le parquet par le passé. Depuis quelques années, estimes-tu sans poser de date précise. Un temps qui date de tes voyages, dès que tu as décidé de quitter le nid maternel. J’ai traversé l’Argentine et ça me semblait être un apprentissage incontournable. » Le meilleur endroit pour découvrir la danse et prouver que tu es bien meilleur pour apprendre quoi que ce soit lorsque ce n’est pas sur les bancs d’école. Les langues, la danse, les connaissances grappillées ça et là, pour confondre les sceptiques qui auraient pu te connaître à une autre époque. « Je suis un élève très indiscipliné », confies-tu à voix basse, tes lèvres étirées de ton habituel demi-sourire de travers. De ceux qui arrivent en retard, ne se présentent pas, ont des horaires en pagaille et toujours de bonnes raisons de poser des lapins. Assez présent pour qu’on se souvienne de toi… et suffisamment absent pour qu’on ne t’attende pas tout à fait avant de débuter. Ça, ou ta réputation te précède et on ne t’en tient alors pas trop rigueur.

Tu lèves le nez vers le ciel. Celui-ci vous fait la grâce d’être dégagé et dans le parc, les étoiles scintillent joliment au-dessus de vos têtes, visibles malgré les lumières de la ville. « Danser sous les étoiles, toutefois… je ne pouvais pas rater cette occasion. »
Une part romantique, sous l’épiderme.

Tu rabaisses le menton. Tes yeux pâles détaillent le visage élégant de l’homme. “Élégant”, comme toujours, soyons clairs : une part de lui qui semble aussi naturelle que respirer chez d’autres. Tu hausses un sourcil et tu ajoutes : « Puis, je vous retourne la politesse. » Si Pío ne t’a jamais croisé… le contraire est aussi vrai. On pourrait dire que c’est parce que tu es bien plus élusif et évasif, mais ce serait calomnier, bien sûr. « Ça fait un mystère de plus à votre arsenal. Tu te penches légèrement vers Pío, complice. Je suis prêt à garder le secret contre une danse. »

La seule digne façon de sceller l’affaire !

Pío Blumenthal
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Pío Blumenthal

saisons : quarante-sixième printemps dans ce monde étrange qui ne cesse de l'intriguer et de l'émerveiller.
occupation : propriétaire excentrique de la Scarborough Art Gallery, artiste et copiste de talent, disponible à faire des faux pour des particuliers. Ancien consultant pour l'office central de lutte contre le trafic des biens culturels pour son expertise en art, il offre encore ses services aux autorités.
myocarde : fraîchement célibataire, rupture dont il peine à faire le deuil, même s'il tente de faire bonne figure. Il ne cherche pas de remplaçant, la relation qui avait fleuri était l'anomalie de sa vie sentimentale inexistante.
miroir : it takes two to tango ; pío C34aruj
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it takes two to tango


❝ ❞


Pío esquissait un sourire amusé à la réponse de Nicky, malgré la légère gêne, il appréciait l’enthousiasme de son nouveau partenaire de danse pour la soirée. En vérité, c’étaient les compliments du professeur qui le mettait dans cet état, il n’avait jamais été quelqu’un qui savait prendre les compliments (notamment ceux exagérés), sauf avec un sourire et le souhait, un peu absurde de disparaître lentement comme la brume. Les projecteurs, il n’avait jamais aimé cela, mais c’était aussi dans sa nature, ou en tout cas son charme naturel, de ne pas passer complètement inaperçu.

La curiosité de Pío fut immédiatement piquée lorsque Nicky lui confiait qu’il avait traversé l’Argentine et qu'il s’était alors imposé d’apprendre le tango qui restait la dance symbolique du pays. C’est là une nouvelle facette de Nicky que l’homme découvrait, et si pour le coup parler de son niveau de danse l’embarrassait, parler expérience de voyage beaucoup moins. Un autre sourire amusé s’étirait sur les lèvres de Pío lorsque le barman ajoutait qu’il était un élève indiscipliné. Il se demandait si c’était plus une histoire d’horaire, comme ce soir, ou si cela comprenait aussi la piste de danse. Il aurait l’occasion de le savoir assez rapidement, mais il soupçonnait Nicky d’être beaucoup plus discipliné qu’il ne le prétendait une fois sur le parquet.

« C’est le charme de l’été, aussi court soit-il à Scarborough. » Répondait Pío un brin taquin, l’énergie de Nicky était contagieuse, Pío partager son avis, danser sous les étoiles n’était pas désagréable et il y avait quelque chose de poétique, de romantique. Pendant l’espace d’un instant, il eut une pensée pour Reyes, qui aurait certainement aimé passer une soirée en sa compagnie et peut-être même partager une danse. Ce n’était pas demain la veille que ce genre de situation arrivera, il faudrait déjà que Pío le lui dise qu’il prenait des cours de danse. La base. Chose que ni Reyes, ni lui semblaient maîtriser dans leur conversation, et pourtant Pío avait toujours l’impression d’en dire trop dans ses courriers. Lettres qu’il confiait au jeune homme devant lui.

Son regard croisait de nouveau celui de Nicky, qui lui retournait la remarque sur le fait qu’ils ne s’étaient jamais croisés auparavant. Parfois, le hasard faisait bien les choses, et si l’univers pouvait avoir un sens de l’humour discutable, Pío n’allait pas se plaindre de cette heureuse rencontre. Il riait doucement, « Un mystère, je ne sais pas, et le secret n’en était pas vraiment un non plus, mais j’accepte cette danse. » Répondait-il en offrant à Nicky son bras avant de l’entraîner sur le parquet, prenant quelques secondes pour se synchroniser à la musique, et Pío reprenait la conversation, la ramenant ainsi au voyage que son partenaire avait mentionné plus tôt.

« Vous me surprenez Nicky, vous semblez avoir vécu déjà plusieurs vies à votre âge, l’Argentine vous a-t-elle plu ? Demandait-il curieux, le ton charmeur. Avez-vous fait d’autres voyages ? »

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it takes two to tango


❝ ❞


Il vous faut à tous les deux quelques secondes pour vous adapter au rythme de la musique, puis, à la présence des autres couples sur la piste de danse. Ce qu’il peut y avoir d’un tantinet rouillé dans tes premiers pas ― tu remarques la mine contrite d’une des professeurs, ses yeux dans les tiens comme pour te signifier “Nicky, si vous pratiquez plus souvent, ça n’arriverait pas, blablabla” ― se dissipe vite. Tu te concentres sur Pío et tu laisses la mémoire, la technique, la musique, guider tes pas, pour que tu puisses toi-même guider le Blumenthal, dans une attribution des rôles venue avec naturel.

Ton sourire se fait mutin, à la mention de ces nombreuses vies pour ton jeune âge. Puis, rêveur, peut-être, à la pensée de l’Amérique latine et des pays foulés de bottes depuis mises au rancart. « J’y serais resté plus longtemps. » Tu as pour toi une facilité à aller vers les gens, une ouverture qui justifie qu’on te fasse suffisamment confiance en peu de temps et un front tout à fait extraordinaire qui semble t’extraire de la notion de gêne. Des atouts idéaux pour voyager sans craindre la nouveauté, assortis à un appétit de découverte et une absence de peur qui t’ont mené un peu partout. « J’ai pris mes aises en Italie, en Espagne, en Grèce, en France. Au sud. Partout où, adolescent à peine sorti de la maison de ta mère, tu pouvais chasser le beau temps et fuir la grisaille du nord de l’Angleterre. Chaque hiver, j’ai envie de quitter le pays pour retrouver le soleil. » Peut-être cette année, qui sait ? Si tu es chanceux, si tu as l’occasion, le temps, les congés, l’argent…

Un soupir soulève ta poitrine. Tu rajustes ta posture, la prise de tes mains, à la fois ferme et légère. La nuit est déjà fraîche, ton épiderme aussi. « À votre contraire, cela dit, je n’ai pas vraiment le pied marin. Je ne peux pas attendre avec plus de frénésie de remettre le pied à terre. » Ta moue mélancolique se transforme en grimace, sans que celle-ci ne fasse disparaître les rides rieuses autour de tes yeux. Le comble, pour quelqu’un qui vienne d’une ville côtière ! Deux fois plus, quand on apprécie tant ces pays où l’eau est d’un bleu idyllique et dont les secrets se cachent entre les côtes accessibles uniquement par bateau ! « Avez-vous prévu de prendre la mer d’ici l’hivernage ? » Le voilier a déjà été le sujet d’une conversation, au Indigo Alley. Un détail mentionné au passage, une description de l’embarcation, un intérêt effleuré sans trop le creuser que pour mieux être de grande utilité en ce moment.

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