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topic commun | dream on

+6
Cody Grant
Ligia Velasco
Beckett Reeves
Zara Brontë
Lauren Chen-Ashmore
The Ghost
10 participants
The Ghost
infamie spectrale

The Ghost

saisons : Carcasse trépassée surannée, l’œillade infinie qui veille.
occupation : Marionnettiste avisé aux nombreuses possessions.
myocarde : Esseulé, dépourvu d'affection.
faciès & artiste : corvidae
victimes : 1233


Dream On
topic commun I

❝ ❞
I know nobody knows where it comes and where it goes. I know it's everybody's sin, you've got to lose to know how to win.


TW : menace armée, araignées / crabe / petites bêtes non identifiées.

[ 30.07.24, 22h05 ]Effroi et incompréhension jettent un froid sur la soirée qui s'annonçait festive. L'on s'inquiète, l'on se penche vers les corps inanimés, les cris et les murmures se confondent. Mais lorsque la dernière fusée éclate dans le ciel, inonde la scène de sa lumière rouge, ce sont des silhouettes sombres, masquées, qu'elle révèle tout le long de la promenade. Plus discrètes, mais pas moins inquiétantes, d'autres ombres masquées émergent des flots, s'avancent vers la plage. Les individus finissent par s'avancer et se mêler à la foule, et des yeux avisés remarqueront immédiatement qu'iels portent des armes. La menace est réelle, et des ordres secs, prononcés dans une langue inconnue, laissent une impression inquiétante, à ne pas comprendre leurs intentions. Mais l'on se doute, qu'un mouvement de trop, pourrait suffire à déclencher un bain de sang.

Une masse informe grouille à leurs pieds, finit par se disperser, petites bêtes rampantes, crabes ou araignées, qui sait, à se faufiler entre les jambes de tout le monde. Elles se font de plus en plus intrépides, grimpent sur les corps inanimés, commencent à presque les engloutir. Les plus téméraires s'aventurent même aux pieds des festivaliers, pourraient bien leur grimper dessus, si on les laissait faire...

L'effroi gagne vite les cœurs, génère une panique générale au milieu des bêtes grouillant sur le sol et des individus armés, inquiétants.





informations


Ce topic commun possède une probabilité faible à modérée de dévoiler des éléments concernant la nature de votre personnage. Tout dépendra de vos propres actions en jeu.

— Le TC est toujours ouvert, de nouveaux personnages peuvent encore nous rejoindre.  
— Les passages en hide sont autorisés si des éléments peuvent trahir la nature ou l'allégeance de vos personnages.
— Les personnes tombées inconscientes ne sont pas des personnages joués, mais seulement des PNJs.



Zara Brontë
aucune suspicion

Zara Brontë

saisons : apoptose égotisme, ( quarante-neuf annuités ) qu'on ne lui prêterait guère, insidieusement baffrées par l'écume des jours.
occupation : impie assassine les chairs d'encres absconses, tire cartes, révère fortunes et fatum, ( sorcière ) conjurant schéol.
myocarde : noces sanglante jamais révolues, opprobre carmine - se souffle qu'elle est sienne, ( épouse) au péricarde ensuqué de quelques empyèmes.
miroir : topic commun | dream on - Page 2 YKZ4LNqT_o
faciès & artiste : jolie, self, ausländer ♥
victimes : 513


tw : consommation de cannabis

« c'est pas normal, ça.
ça se passait de commentaire.. »

constat navrant de zara qui plisse les yeux, éblouie par l'éclat rougeoyant d'une dernière étoile artificielle, comme figée — vénus d'ille sur sable détrempé. se redressant tant bien que mal, elle retire quelques algues collées sur ses fringues saveur eau salée et observe brièvement autour d'eux, à s'demander si quelqu'un les avait aperçu en l'état, à jalouser chiens mouillés. à l'écart du rassemblement, il semble qu'ils soient les premiers à percevoir figures masquées rampant en foule plus largement éparse, zara flanquant un coup de coude à @cody grant sitôt celui-ci relevé à son tour.

« ça, c'est encore moins normal, par contre. il faut qu'on bouge. »

brontë s'étouffe d'un hoquet sourd, plaquant la main sur ses lèvres, se met à reculer lentement vers la promenade, se rapprocher de l'ombre. ne restait plus qu’à espérer que les nouveaux arrivants ne prennent pas connaissance de leur existence, là, dans un recoin exiguë de la plage. zara recule, tentant de garder à la fois un œil sur cody qui trébuche, lui attrapant la main par réflexe (pour leur survie à tous les deux à ce niveau, qu'on se le dise), son cerveau concentrée sur la coordination de chacun de ses gestes, sans pour autant se rendre compte qu'ils n'étaient plus seuls, dans leur secret. quelques secondes encore et la voilà qui rentre en collision avec un corps chaud, l'inconnu la retenant. pas le temps de tourner la tête que paf, la voilà juchée sur l'épaule de l'autre sans ménagement. étouffant un gémissement, elle s'agrippe de toutes ses forces à la pogne de grant, le suppliant de n'pas la lâcher en le tirant presque sur le dos de l'autre. pas l'temps de niaiser, les voilà tous trois qui s'éloignent, l'homme masquer se mettant à courir le plus loin possible vers la plage, zara sur son épaule et cody courant derrière, à moitié juché sur le dos du type.

« plus jamais. »

qu'elle articule silencieusement à l'adresse de cody et son calumet de la paix, avant de se mettre à crier à l'aide. c'était sans compter sur les braillements de leur ennemi du soir, pour couvrir les siens dans le fracas et les cris de la foule désemparée. raté.

Le poti résumé:

____________________________

— pardonnez moi pour le mal,
mais j'ai jamais dit que j'allais changer.

Cody Grant
aucune suspicion

Cody Grant

saisons : Trente-trois ans.
occupation : Animateur dans l'événementiel et sur camping l'été ; propriétaire et conducteur d'un party bus, disponible à la location pour à peu près tout et n'importe quoi.
myocarde : Pansexuel et célibataire récidiviste, en quête d'intimité émotionnelle, fuit l'engagement comme le reste de ses responsabilités.
miroir : topic commun | dream on - Page 2 669f03d8e9924e88108f3f914093f5bc456cc2c7
faciès & artiste : Jeremy Allen White ; ava (c)etnrs, gif (c)ewans-mitchell, signa (c)awona, icons (c)vocivus.
victimes : 608


cw; allergie, angoisse, bestioles, vulgarités.

    Les derniers éclats font les dernières lueurs, ne restent sur la plage que les lampions festifs, insuffisants pour égayer l'horreur. Pieds dans la flotte, dos à la mer, tu regardes les corps avec confusion sans rien entendre de ce qui émerge par derrière pour vous surprendre. Le coup de coude de ta comparse ne suffit pas à te faire remarquer le bon problème, comme pour toi l'urgence se trouve grouillante au sol. Non identifié – entre le crabe et l'araignée, en nombre faramineux, émergeant des sables ou de la mer ; la chamade soudaine, entre tes côtes, déraisonnable, tire les sonnettes d'urgence. Mortellement allergique aux crustacés, peu t'importe la certitude du danger réel devant la sinistre potentialité.
    Le retrait avec ta complice se fait chez toi sans discrétion, panique au ventre, sur un flot de jurons sonores du merde au putain ; tes doigts, dans les siens, nerveux et moites. C'est de ta faute sans doute qu'on vous repère. Sans que t'aies réellement eu idée de sa présence – obnubilé par le tapis de bestioles – l'être masqué vous rattrape et c'est que de voir Zara soulevée du sol qui te fait réaliser l'autre versant du problème. Tu veux pas crever bêtement, quoique t'avais l'EpiPen dans ta banane en cas de besoin ; tu veux partir mais sa peur te compresse les mains, à t'en faire douiller les phalanges, en te laissant peu de choix sur la suite du manège.
    T'as pas les idées nettes, ralenti par la peur autant que la fumette, et tu te fais traîner autant qu'elle dans la course du connard. Les pieds dans le sable plutôt qu'en l'air, ce qui incite pas au calme quand ton danger immédiat se trouve par terre (t'as même pas repéré les armes), t'arrives qu'à gueuler « ARRÊTE, ARRÊTE ! » les pupilles dilatées quittant pas les monticules à pattes multiples qui approchent à grande vitesse. Tes priorités font que : tu t'agrippes en forcené, grimpes sur l'inconnu en foutant tes jambes dans les siennes, l'entravant peut-être mais qu'il se démerde. « VA PAS DANS LES MACHINS ! » Pitié.

trop long, pas lu:

____________________________

should've washed this, smells like R. Kelly sheets, but shit, it was ninety-nine cents

Beckett Reeves
légère suspicion

Beckett Reeves

saisons : 27 ans
occupation : Barman au casino
myocarde : Pansexuel, célibataire, opportuniste
miroir : topic commun | dream on - Page 2 Tumblr_p5ywh3AW5D1rn0sgro2_640
faciès & artiste : Ross Lynch; beautyhurtsmore - sign;awonaa - icons;signfromgod
victimes : 198



"On se casse ?” te propose Georgia après avoir vérifié et confirmé que la dame non identifiée était en vie et ça te semble la meilleure idée du monde. T’as toujours considéré que s’éloigner des problèmes était très utile pour … éloigner les problèmes. “Oui,” tu réponds franchement avant de te lever et de tendre une main à Georgia afin qu’elle fasse de même. Vous vous faufilez à travers la foule dans l’espoir de partir et d’oublier toutes les choses étranges qui se trament en ce soir d’été.
T’aperçois des silhouettes masquées au loin. Et tu te demandes quelle est encore cette histoire. Tu savais en débarquant à Scarborough que tout n’était pas clair dans cette ville, mais t’aurais pas pensé que des choses si anormales puissent arriver de manière si organisée. Et tu sais pas pourquoi la militia de l’étrange a décidé de se pointer à ce moment précis.

T’as pas trop le temps de te poser la question parce que tu sens la sensation d’un truc qui ne va pas à tes pieds. En regardant tu découvres avec effroi des bêtes qui tentent d’élire domicile en ta personne. “Ewwww,” tu lâches avec un léger haut le cœur de sincérité. “Je veux dire, c’est quoi encore ça ?” tu reprends en essayant de sauver ton honneur. Heureusement que t’as mis des baskets, tu remercies intérieurement ton toi du passé en secouant tes pieds pour essayer de déloger les intrus.

Spoiler:

Avery Hawking
légère suspicion

Avery Hawking

saisons : 25yo
occupation : détective
myocarde : célibataire ; bi
miroir : topic commun | dream on - Page 2 21bm
faciès & artiste : Tati Gabrielle - awona l'artiste :sob:
victimes : 197


tw: juron, créatures écrasées

Fête qui touche au drame et tape dans l'incompréhension, se pare de l'inattendu du chaos. Les corps tombent, la panique monte. Toujours au chevet du saltimbanque échoué, le cri de la jeune costumée attire ton attention et celle de Lauren, qui se précipite pour l'aider à se décoincer de sous l'homme qui lui est apparemment tombée dessus. Comico-tragique de la situation qui te fait cligner des yeux, coin des lippes qui se tire un peu en un tic nerveux et disparaît déjà, rattrapé par la gravité du drame qui se joue sous tes yeux et Lauren qui te demande si tu sais ce qu'ils ont. Regard qui repart sur l'homme évanoui à tes pieds, à qui tu glisses deux doigts dans le cou pour chercher son pouls. Rien d'anormal. "Aucune idée," que tu réponds, les sourcils froncés, alors que tu te redresses, aux aguets.
C'est pas bon, tout ça. Trop étrange. Tu crois pas que ça va s'arrêter juste là.

C'est là que tu les aperçois. Ces silhouettes vêtues d'obscurité, leurs visages masqués, qui se mêlent à la foule, s'enfoncent entre les badauds déjà inquiétés. Voix qui claquent, syllabes et sonorités inconnues, qui ne font pas sens pour toi mais qui disent rien qui vaillent, et la pensée te traverse : et si t'avais vraiment preshot, en pensant à une attaque ? Ca y ressemble en tout cas. La torche de l'artiste toujours en main, tu fais deux pas souples sur le côté pour te rapprocher de Lauren - ça craque sous la semelle de ta chaussure. Un regard au sol te révèle un autre spectacle, tout aussi étrange, de créature rampantes et pleines de pattes qui sortent des flots à l'assaut de la plage et des corps échoués. "Putain c'est quoi ça," que tu pestes à voix basse, écrasant d'autres coquilles en te rapprochant encore, assez pour que Lauren et la costumée puissent t'entendre. Tu tâches de réfléchir mais tout s'additionne dans l'incompréhension et le danger. "Tu comprends ce qu'ils disent ? Faut pas qu'on reste là." Sans parler des présences menaçantes, les grouillants poursuivent leur avancée silencieuse, s'accrochent, menacent d'ensevelir les gens sous leur marée.


pas lu pas pris:

Ligia Velasco
aucune suspicion

Ligia Velasco

saisons : 25 étés
occupation : Employée au Luna Park
myocarde : Éprise de Liberté / Volage Hetero un brin Curieuse
miroir : topic commun | dream on - Page 2 Brown_10
faciès & artiste : Ester Exposito by me
victimes : 293


C'est joli ce feu d'artifice. Dommage que personne ne regarde, tous affairés qu'ils sont à se demander pourquoi ça se laisse tomber de partout. Ligia, quant à elle, en profite à peine, le souffle venant bientôt à lui manquer sous le poids lourd du sac d'os qui lui est tombé dessus. Mais l'inconnue qui l'a prise pour une artiste ne tarde pas à venir à la rescousse. A elles deux, elles parviennent à faire rouler le molosse sur le côté. Enfin libérée, le cul encore enfoncé dans le sable, l'espagnole aspire goulûment l'air salvateur qui lui manquait jusque-là. ”Ouf ! Merci Ma…dame…” qu'elle laisse échapper d'entre ses lèvres, le regard déjà happé par un autre phénomène.

Les ombres s'avancent dans le sable fin, les cris accompagnent leur pas, une masse informe se déplace à leur pied… ”Qu'est-ce que…” prononce-t-elle à peine lorsque son regard se pose lentement sur sa main enfouie sous les pattes de trois énormes crabes. ”Hiiiiiiiiii…”, hurle-t-elle en se redressant promptement, secouant sa main et ses jambes tout en frissonnant. Dans la panique, la voilà qui se perche approximativement sur le pauvre homme inerte à côté d'elle.

L'autre femme approche, une torche à la main, les coquilles craquant sous ses pas, provoquant quelques grimaces au visage un brin paniqué de l'Andalouse. ”Mais on va par où ? Y'en a partout ?”, s’enquiert-elle en réponse à la métisse qui les a rejoint. Armée de son briquet, Ligia éclaire le corps inerte sur lequel elle s'est perchée en équilibre précaire, piétine et frissonne sous l'assaut sans fin des crustacés… Et les silhouettes qui baragouinent n'ont rien pour la rassurer… ”On s'en fou. Vous avez raison, faut partir d'ici et fissa… Hiiiiiiiiii, enlevez moi ce truc !” qu'elle hurle de plus belle en secouant sa jambe avant de commencer à courir vers les cahutes plantées plus haut non sans hurler à chaque fois que ses pieds nus touchent une carapace. Maudite soirée !

Spoiler:

____________________________

• I want to feel sunlight on my face •


Moira Grant
aucune suspicion

Moira Grant

saisons : cinquante années pile
occupation : agente immobilière pour sa propre agence
myocarde : divorcée depuis six ans, le re-mariage n'est pas dans les plans; attirée par la gente masculine seulement
faciès & artiste : lena headey / proserpinegraphics
victimes : 38


    Bon. Évidemment que l'inconnu qui ruinait ses poumons à ses côtés ne savait pas. Qui parmi la foule savait ce qui arrivait en ce moment? C'était une question stupide qui était sorti de la bouche de Moira dans un instant de panique. Et voir le jeune homme se pencher vers la personne évanouie lui fit réaliser qu'il aurait fallu qu'elle fasse de même, au lieu de penser à sa propre personne et à sa propre sécurité. Quelle égoïste. L'agente se penche également sur l'évanoui, question d'avoir l'air de savoir quoi faire dans cette situation. La cage thoracique de la personne couchée à ses pieds se gonflait au rythme d'une respiration régulière, c'était déjà ça. "Tant mieux! J'espère qu'iels s'en sortiront." Parce qu'il n'était pas le seul dans cette situation étrange; iels étaient entourés de corps évanouis. Le feu d'artifice battait encore son plein, malgré tout.

    Soudain, une ombre dans le champ de vision de Moira attira son attention: figure masquée, à la démarche lente mais assurée. Le premier réflexe de Grant fut de prendre le bras de l'homme à ses côtés - il faudrait vraiment qu'elle apprenne son nom, éventuellement  - et fit un signe de tête vers la figure masquée. "Partons." Elle avait baissé le ton de sa voix, question de ne pas attirer l'attention de l'inconnu louche.

    Mais sa tentative de subtilité fut un échec cuisant lorsque les créatures à pattes multiples firent leur apparition par milliers sur la plage. Le cri de Moira au moment de la découverte de la personne inconsciente n'était rien comparé à cri d'horreur - aucune autre façon de le décrire - en découvrant les crabes/araignées/à déterminer. Elle n'allait certainement pas rester assez longtemps pour essayer de le déterminer, non plus!

    Ses pieds se dirigèrent automatiquement en direction de sa maison, plus vite qu'elle n'avait jamais couru. Elle ne savait plus si elle avait relâché son éreinte du bras de l'homme fumeur ou non, et elle s'en fichait.

    tldr:

Lauren Chen-Ashmore
administratrice

Lauren Chen-Ashmore

saisons : 62 ans.
occupation : Avocate qui passe désormais plus de temps à enseigner à l'université qu'à défendre des dossiers.
myocarde : Veuve, la bague toujours brillante au doigt, incapable d'oublier la femme qui fut la sienne.
faciès & artiste : Michelle Yeoh | Memory Card VIII (avatar & icons) rampldgifs (gifs).
victimes : 640


TW : bêtes rampantes non identifiées, mention d’arme et d’éventuelle fusillade

Les silhouettes passent presque inaperçu, les premiers instants. Penchée sur les corps inanimés, elle ne relève les yeux qu’aux premiers cris de frayeur, l’oreille alerté non pas par les mots qu’elle ne comprend pas, mais l’intonation, lourde, menaçante. Le rythme sec suffit à la faire frissonner, couler un regard méfiant à ces silhouettes qui les entourent et finissent par s’avancer dans la foule. L’œil accroche presque aussi les armes entre leurs mains, confirment le danger.

Et puis c’est le sol qui semble soudain se mouvoir, comme si le sable ondulait à la manière des vagues. Sauf qu’il ne s’agit pas de sable. L’illusion est trompeuse, dans la pénombre, mais dans l’éclat d’une flamme, elle devenue une infinité de créatures rampants sur le sable, avançant tel un raz de marée. Et cette seule vision est terrifiante. Elle n’a pas le temps de réagir avant que les premiers ne les atteignent, rampent sur les corps au sol, et n’égratignent ses pieds nus. Son cri est instinctif, elle piétine presque aussitôt, saute d’un pied sur l’autre, essaie de se débarrasser des bêtes qui commencent à remonter le long de sa jambe. La panique est viscérale, lui serre la gorge, l’empêche de crier plus longtemps. Elle n’est que terreur. Et n’est pas la seule.

La jolie blonde hurle avec panache, lui laisse à peine le temps de protester à l’idée. “Iels ont des armes, c’est dang…” Mais elle s’est élancée sans demander son reste, et on aurait bien envie d’en faire de même. Bloody hell. Revenez ici !” Préfère-t-elle se faire canarder ou avaler par la marée de créatures non identifiées ?

Un éclair de génie lui fait lancer ses frites à quelques pas, et la masse grouillante au sol semble s’y intéresser un temps, assez pour dégager un chouïa d’espace, remettre ses chaussures à toute vitesse, quitte à ne pas les lacer. Elle manque de perdre l’équilibre dans la manœuvre, bouscule une des silhouettes sombres. Toute retenue dévorée par la terreur, ses paroles fusent avant qu’elle n’ait pu vraiment y penser. For god’s sake! Restez pas plantez-là, faites quelque chose ! Qu’est-ce que vous voulez à la fin ?”

Le poti résumé:

____________________________

this is the strange way of the world, that people who simply want to love are instead forced to become warriors.



Georgia Darling
aucune suspicion

Georgia Darling

saisons : Hot Girl Summer all the way / 26 ans
occupation : Smut Author Extraordinaire - Julia Quinn si Lord Bridgerton avait des tentacules et une salive aphrodisiaque
myocarde : En rehab après un abus sévère de Men in Finance,Trust Fund, 6'5, blue eyes
miroir : topic commun | dream on - Page 2 8898d2641cc3019db974fc175542a4578e5a9619
faciès & artiste : Sabrina Carpenter - etangsnrs qui a tellement de talent que j'ai même pas besoin de voir le visage de mon fc pour que ce soit l'avatar le plus magnifique ever. Talent +1200000
victimes : 498


cw; bestioles

Faufilés entre la foule, une main gardée refermée sur le tshirt de Beck pour éviter d’être séparés dans la panique grandissante - le tableau cauchemardesque s’enorgueillit de nouvelles apparitions.
Individus masqués, et plus inquiétant que tout, armés, commencent leur ronde entre les badauds et Georgia n’a que sa taille à remercier de n’avoir pas remarqué les silhouettes sortant des flots.
Ce qu’elle remarque aisément, par contre, est l’exclamation de dégoût de son ami d’enfance - certainement pas un date, elle l’avait décidé.
Léger souffle amusé malgré la situation, le regard se porte au sol où, effectivement, une masse de c’est quoi ça, est activement en train de grouiller, les petites pattes autant de chatouilles à leur passage.
Lunettes lumineuses relevées - il y avait des limites à sa volonté de se voiler la face avec un filtre rose, et les créatures rampantes dans le cadre d’un non date étaient cette limite. “Mh pas des cafards ni des blattes, pas vraiment une araignée non plus ?
Un pied vaguement secoué pour en déloger les bestioles - elle est petite, qu’ils cherchent un point d’observation ailleurs, le feu est terminé de toutes façons, elle succombe à la tentation d’un récupérer un de plus près “J'ai pas vraiment pas la moindre idée de ce que ça peut être, pas même une famille - c’est assez fou ?” Ses années de bio avaient eu un focus important de sa part sur les petites bestioles qui tendaient à éliciter des “Ew’ - et elle avait été largement servie en matière première d’observation par certains amis en colocation - les cafards étaient vraiment fascinants et elle n’acceptait aucun commentaire sur la question.
Oeillères abandonnées, petit choupinou gardé en animal soutien psychologique, elle baisse le ton, une première nuance d’inquiétude dans la voix “On va rester bloqués ici, mh ?” Partir dans la panique et la menace ambiante ne semblait vraiment pas l'idée du siècle - mais que faire d'autre ?
Dire que sa maison n'était qu'à quelques minutes...

Elle ne voulait vraiment pas penser à ce qui pourrait se passer.

Gosh, elle espérait qu’Avery allait bien.

réumé:

Ligia Velasco
aucune suspicion

Ligia Velasco

saisons : 25 étés
occupation : Employée au Luna Park
myocarde : Éprise de Liberté / Volage Hetero un brin Curieuse
miroir : topic commun | dream on - Page 2 Brown_10
faciès & artiste : Ester Exposito by me
victimes : 293


”Aïe ! Aïe ! Aïe !” chouine-t-elle à chaque fois que sa peau nue frôle une bestiole. Elle hurle de plus belle lorsque l'un de ses pieds se pose malencontreusement sur l'une d'entre elles. ”Je vais mourir d'angoisse, putain ! C'est dégueulasse ! Ca grouille, c'est raaaaaaaaaah !”. Loin derrière elle, Ligia entend à peine les mots lancés par sa sauveuse pour l'arrêter. Tant pis. Trop tard pour le raisonnable, adieu la crédibilité aussi. Qui s'en soucie à présent ? Dans son dos, des pattes semblent l'escalader lentement, la Marquise ne la sent que lorsqu'elle atteint ses épaules, sa nuque… ”HIIIIIIIIIIIIIIIII !” hurle-t-elle de sa plus belle voix, la plus stridente en tout cas, avant d'arracher sa perruque et de la balancer par terre. Ligia se secoue et s'ébroue, gesticule et se débat, sautillant sur place, les cris stridents qui s'extirpent de ses lèvres ponctuant ses gestes inconsidérés. ”Enlevez moi ce truc !”
Un peu plus et quelqu'un se mangerait une tarte au passage. Ce qui finit par arriver. ”Oups ! Pardon !” lance-t-elle avant de s'apercevoir qu'il s'agit d'un des types chelous armés. ”Oh putain !” qu'elle s'exclame avant de faire volte-face et de partir à nouveau en courant sans demander son reste… arrêtée net par une autre silhouette massive. Retour au sol, le cul dans le sable. Ouille. Heureusement qu'il n'y avait pas de crabe en dessous… et qu'elle a un peu de rembourrage aussi. Un peu sonnée, la gueule enfarinée, l'Andalouse reste sur place, assise là, une perruque montée sur pattes se baladant toute seule à côté d'elle…

Spoiler:

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• I want to feel sunlight on my face •


The Ghost
infamie spectrale

The Ghost

saisons : Carcasse trépassée surannée, l’œillade infinie qui veille.
occupation : Marionnettiste avisé aux nombreuses possessions.
myocarde : Esseulé, dépourvu d'affection.
faciès & artiste : corvidae
victimes : 1233


dream on
topic commun I

❝ ❞
I know nobody knows where it comes and where it goes. I know it's everybody's sin, you've got to lose to know how to win.


TW: menace armée, araignées / crabe / petites bêtes non identifiées, comportement menaçant / agressif

[ 31.07.24, 22h20 ] Les esprits s'échauffent, la panique gagne la plage. Pleurs et hurlements saturent l'air. Les corps inanimés finissent tous ensevelis par le raz de marée de créatures rampantes, et lorsque la marée passe, ils ont disparu, comme grignotés, transformés en sable. Les voix des individus ténébreux enflent, se font toujours plus agressives, menaçante, le ton rude et grave, mais leurs mots sont toujours incompréhensibles. L'intention suffit. Certaines armes sont brandies, et des personnes finissent emportées contre leur gré par ces silhouettes anonymes. Ferez-vous partie des prochaines victimes à déplorer ?




Lancé de dés


Envie de remettre le destin de votre personnage entre les mains du hasard ? Lancez vos dés dans ce sujet pour découvrir si le sort vous sera favorable !

NB : Les lancers de dé ne sont pas obligatoires. Toutefois, si vous voulez une chance d'atteindre la promenade et d'être à l'abri, vous êtes obligé·es de tirer le premier dé.

premier dé 20

1 à 5 : Un de ces mystérieux individus vous attrape, vous prend en otage et vous porte sans que cela paraisse représenter le moindre effort. Il vous emporte vers la mer, où vous finirez immergé·e pour de bon si rien ne vous permet d'échapper à sa poigne.
NB : @Zara Brontë et @Cody Grant se sont déjà fait kidnapper et ne peuvent plus échapper à leur sort. L'individu les entraine pour de bon dans la mer et a déjà les pieds dans l'eau.

6 à 10 : Désagréables petites créatures, les crabe-araignées commencent à vous grimper dessus, et pourraient bien finir par vous ensevelir pour de bon si vous n'agissez pas.

11 à 15 : Apostrophé·e par un de ces individus, il vous parle, se montre agressif dans son attitude, mais vous ne comprenez pas ce qu'il veut, et l'arme qu'il porte n'est guère rassurante.

16 à 20 : Lucky you, vous arrivez à atteindre la promenade sans encombre, malgré les bêtes écrasées sous vos talons. Aucune créature ne rampe sur le bitume, et les individus menaçants semblent concentrés sur la plage. Vous êtes sauf·ve.

deuxième dé 20

Si vous avez tiré le premier dé qui se révèle malchanceux, vous pouvez tenter de vous débattre et de lutter en lançant un dé 20. Il est également possible pour les personnes n'ayant pas tiré le premier dé de venir en aide à vos camarades malchanceux en tirant vous aussi un dé 20. Seuls les tirs au-dessus de 13 sont considérés comme une réussite.




informations


Il n'est plus possible de vous incruster dans ce topic commun. Seuls les membres ayant déjà posté sont invités à y répondre.
— Les passages en hide sont obligatoires si des éléments peuvent trahir la nature ou l'allégeance de vos personnages.
— Toute tentative d'action à l'encontre des PNJs doit faire l'objet d'un lancé de dé.


Avery Hawking
légère suspicion

Avery Hawking

saisons : 25yo
occupation : détective
myocarde : célibataire ; bi
miroir : topic commun | dream on - Page 2 21bm
faciès & artiste : Tati Gabrielle - awona l'artiste :sob:
victimes : 197


cw : maltraitance animale (créatures écrasées), gens armés

Si tu pensais pouvoir profiter de la douceur estivale de la soirée et du spectacle anodin des feux d'artifices, c'est peine perdue. Tout dérape, tourne au drame sur prémisses de tragique, le tout dans un chaos tel que personne ne semble vraiment savoir comment réagir. Première confusion passée, les sens en alerte alors que les silhouettes encapées infiltrent la foule et s'avancent, menaces incompréhensibles qui claquent hors des bouches. Marée de crustacés et de rampant qui continue à l'assaut des corps échoués, glacent le sang, et t'en écrases éhontément, carapaces qui crissent sous la semelle alors que la jeune costumée hésite d'abord quand tu dis qu'il vous faut bouger, inspecte un corps couvert des créatures et revient sur ses paroles pour partir en courant et hurlant, attirant l'attention à elle. Lauren la hèle pour qu'elle revienne - sans succès - mais c'est plutôt l'information qu'elle a jeté qui attire ton attention - t'observes l'attaquant potentiel le plus proche, pestes intérieurement de pas avoir remarqué l'évidence plus tôt. Dans leurs mains, des armes, dont iels ne se servent pas pour le moment.

Les créatures éloignées par l'abandon des frites, Lauren remets prestement ses chaussures, perd l'équilibre, et t'as à peine le temps de tendre le bras pour l'aider à le retrouver que, déjà, elle a percuté une des silhouettes, menaçante. Shit. Doigts qui s'enroulent malgré tout autour son bras, tu l'attires plus près de toi et loin de l'inconnu.e qu'elle s'est mise à haranguer d'un ton qui trahit la terreur qu'elle ressent, partagée de tous dans un brouhaha de pleurs et d'hurlements. Tu le fusilles d'un regard noir, reculant d'un pas sur le sable en entraînant Lauren avec toi - pour réaliser que le sable, sous tes pieds, ne craque plus. Regard lancé en contrebas - la marée semble passée - puis en arrière - ne reste plus rien des corps précédemment tombés si ce n'est un peu de sable. "Oh fuck!" qui t'échappe, la voix blanche. Frisson qui remonte l'échine et glace les profondeurs des entrailles. Quand tu te retournes vers l'agresseur, il s'est rapproché à nouveau, et sa voix claque après vous, mue d'une agressivité nouvelle, l'arme plus en exergue que précédemment sans encore vous menacer. Tu fronces les sourcils, panique qui flambe dans un élan de colère dont elle naît. "Vous débarquez comme ça pour nous menacez avec vos armes ridicules là, et vous faites même pas l'effort d'être compris ? L'audace." Les yeux dans les siens, regard noir contre le flot véhément et incompréhensible, mais iel continue de te bloquer le passage vers la jeté. "Laisse-nous passer." La voix persifle, claque en retour - comme si le dire allait suffire à convaincre et les faire s'exécuter.


résu + dé:

Moira Grant
aucune suspicion

Moira Grant

saisons : cinquante années pile
occupation : agente immobilière pour sa propre agence
myocarde : divorcée depuis six ans, le re-mariage n'est pas dans les plans; attirée par la gente masculine seulement
faciès & artiste : lena headey / proserpinegraphics
victimes : 38


TW : bêtes rampantes non identifiées, mention d’arme

Moira évita le plus possible de prendre connaissance de son environnement durant sa fuite. Sa priorité était d'atteindre sa maison, sa sécurité. Mais lorsque les bruits environnants - les bestioles, tant de bestioles, juste des bestioles - diminuèrent avant de se taire, l'agente regarda à ses pieds. Parties. Disparues, les bestioles non identifiées. Intriguée, elle regarda derrière elle: les bibittes rampantes avaient laissé la place à des individus masqués tout aussi - sinon plus, car leurs intentions étaient définitivement mauvaises avec leurs armes blanches - terrifiantes. Grant n'avait pas remarqué qu'iels étaient là depuis un moment, seulement qu'iels faisaient peur et s'approchaient dangereusement. Il était temps de filer.

En tournant la tête vers la direction de sa maison, son regard croisa les corps qui se faisaient traîner dans l'eau par les individus malveillants.
Merde.
Merde merde merde merde merde.

Des sacres écossais colorés fusèrent de sa bouche.

Cody.
Fucking Cody s'était fait prendre.

Elle ne pouvait pas le laisser. Sa mère, son frère et ses enfants ne lui pardonneraient jamais, iels la renierait, elle passerait ses jours seule et abandonnée. No way. On laisse pas un Grant dans la merde.

Grande inspiration, grande expiration. Et voilà Moira qui fait demi-tour et se met à courir vers le danger pour sauver le moins préféré de ses neveux. Ce qu'on ne ferait pas pour sa famille. Dans sa course, elle tente d'éviter la prise des individus masqués, mais se fait attraper par le bras.

"CODY!!!"

Elle se débattait du mieux qu'elle pouvait pour défaire la prise de l'inconnu.e, et après plusieurs coups de coude et de genoux, l'inconnu.e lâcha Moira, qui courut en direction opposée de la plage et, conséquemment, de son neveu.

Elle avait essayé et elle avait échoué, mais avait survécu de peine et de misère. Qui sait ce que donnerait un second essai? La noyade, le désespoir, la mort? La logique avait repris le dessus sur les émotions, et puis Cody était un garçon étonnamment débrouillard.

résumé et dé:

Lauren Chen-Ashmore
administratrice

Lauren Chen-Ashmore

saisons : 62 ans.
occupation : Avocate qui passe désormais plus de temps à enseigner à l'université qu'à défendre des dossiers.
myocarde : Veuve, la bague toujours brillante au doigt, incapable d'oublier la femme qui fut la sienne.
faciès & artiste : Michelle Yeoh | Memory Card VIII (avatar & icons) rampldgifs (gifs).
victimes : 640


TW : bêtes rampantes non identifiées, future noyade

L’horreur lui serre la gorge, finit par la paralyser, la rendre muette. Combien de personnes ont disparu en l’espace de quelques secondes seulement, au passage de ces créatures. Tout courage lui fait défaut, à mesure que l’épouvante gagne du terrain. Ses paroles impudentes sont vite regrettées, quand l’individu qu’elle a apostrophé d’un ton agressif se tourne vers elle, darde son visage sombre, indiscernable, dans sa direction.

Elle n’a pas le temps de réagir, ou même de hurler, qu’elle finit sur son épaule, les muscles transis d’effroi, le sang remontant vers sa tête, enserrée par sa poigne ferme. Le premier instinct de se débattre, de jeter ses membres contre le corps de cet homme se heurte à une rigidité sans pareille, une force qui la laisse impuissante. Elle a beau s’y essayer, lutter et tenter de se défaire de son emprise, par sa seule force ou une tentative ratée de se glisser au sol, rien n’y fait. Il y a un goût de désespoir, dans cette impuissance qu’elle découvre, à se faire entrainer ainsi vers la mer.

Le clapotis de l’eau dans lequel il commence à marcher finit par la secouer assez fort pour rouvrir la bouche, la convaincre de trouver une autre manière d’agir, quoi qu’il en coûte. Elle suppliera, s’il le faut. “Lâchez-moi ! Mais lâchez-moi, qu’est-ce qui vous prend !” Sa voix manque de se briser dans un sanglot de désespoir, mais elle y préfère un dernier hurlement. “A l’aide !” Le cri fuse, mais lui parait comme un échec cuisant, réduite à demander à ce qu’on intervienne pour elle, puisqu’elle est incapable de se défaire elle-même du pétrin dans lequel elle s’est mise.

Ses pieds finissent par toucher les premières vaguelettes, le pantalon s’imbibe peu à peu d’eau. La frénésie du désespoir la rend d’autant plus hargneuse, violente, elle tente par tous les moyens de s’arracher à la prise du mystérieux individu, mais ses coups ne trouvent aucune réponse, si ce n’est l’avancée inexorable vers le large.

Le poti résumé:

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this is the strange way of the world, that people who simply want to love are instead forced to become warriors.



Zara Brontë
aucune suspicion

Zara Brontë

saisons : apoptose égotisme, ( quarante-neuf annuités ) qu'on ne lui prêterait guère, insidieusement baffrées par l'écume des jours.
occupation : impie assassine les chairs d'encres absconses, tire cartes, révère fortunes et fatum, ( sorcière ) conjurant schéol.
myocarde : noces sanglante jamais révolues, opprobre carmine - se souffle qu'elle est sienne, ( épouse) au péricarde ensuqué de quelques empyèmes.
miroir : topic commun | dream on - Page 2 YKZ4LNqT_o
faciès & artiste : jolie, self, ausländer ♥
victimes : 513


tw : violence, kung-fu panda, évocation consommation drogues

la poigne de l'homme en noire est ferme, implacable — la sienne sur cody un peu moins, le lâche déjà pour ne pas le condamner à une mort certaine. zara se met à ruer, violemment, se cabre à mieux tenter de se défaire de son emprise, sans franc succès. pour autant, le voilà déjà qui la relâche imperceptiblement, bougre déconcentré par quelque chose derrière eux, probablement leur unique chance de ne pas finir noyés dans l'eau un peu trop fraîche. brontë en profite, lui assène un coup à l'arrière de la nuque qui, s'il ne semble pas l'atteindre plus que ça, carne ne craignant pas d'être rossée, a au moins le mérite de le faire la lâcher d'une main, d'étonnement. zara envoie valser son genou dans ses côtes et sans plus attendre, retrouve le contact au sol en s'arrachant à sa prise. c'est à peine si elle se préoccupe du cirque autour d'eux, trop préoccupée par sa propre survie, sans entendre les plaintes et les cris.

« cody, on se tire de là ! »

pas l'temps de niaiser, elle attrape brusquement la main de cody (encore) et le tire jusque sur la plage en espérant que l'autre mettrait quelques secondes à réagir, leur donnant le temps de se tirer de cet enfer. courir sans se retourner. faut dire qu'elle a déjà la cabèche emplie d'ouate et elle craint qu'à se retourner, elle perde l'équilibre. déjà sous leurs pieds trempés, le craquement sinistre des carapaces des bestioles qu'ils enjambent. pas besoin d'observer l'acolyte du soir pour deviner l'inamitié qu'il voue aux bêbêtes, tant il lui semble qu'il lui broie la main. chacun son tour.

slalomant entre les corps ensevelis sous myriades crustacés, évitant les ombres couleur sorgue, le duo parvient miraculeusement à atteindre la promenade de front de mer, sans accroc visible au premier abord. probablement qu'ils ne prennent pas véritablement la mesure de ce qui vient de leur arriver — il est fucking strong, son calumet d'la paix et on l'y reprendra pas de sitôt.

Le poti résumé:

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— pardonnez moi pour le mal,
mais j'ai jamais dit que j'allais changer.

Cody Grant
aucune suspicion

Cody Grant

saisons : Trente-trois ans.
occupation : Animateur dans l'événementiel et sur camping l'été ; propriétaire et conducteur d'un party bus, disponible à la location pour à peu près tout et n'importe quoi.
myocarde : Pansexuel et célibataire récidiviste, en quête d'intimité émotionnelle, fuit l'engagement comme le reste de ses responsabilités.
miroir : topic commun | dream on - Page 2 669f03d8e9924e88108f3f914093f5bc456cc2c7
faciès & artiste : Jeremy Allen White ; ava (c)etnrs, gif (c)ewans-mitchell, signa (c)awona, icons (c)vocivus.
victimes : 608


cw; angoisse, bestioles.

    La mer de bêtes se disperse en ressacs, laisse sur le sable en lieu de corps des impressions de vide. La crainte hypothétique pâlit devant une fatalité plus rapide et radicale ; tu t’accroches à l’inconnu plus que lui-même te retient, bigorneau sur son rocher pour éviter la noyade, étranger à ses intentions qui te semblent un moindre mal. L’angoisse sous tous les bords t’empêche de correctement penser : les cris, la frayeur ambiante noyés dans l’inaudible.
    Il y a un mot pourtant que tu es calibré pour entendre mieux que les autres. A l’appel de ton nom, tu tournes mécaniquement le regard, à temps pour voir Moira traînée en direction des eaux. « Tata ! » Ce n’est qu’alors que tu remarques les armes à leur flanc et brandies, que lorsque les pas de ton porteur éclaboussent tes mollets d’eau salée que la panique se fait urgence. L’incompréhension globale du comment et du pourquoi ploie devant la nécessité absolue de partir de là, et réfléchir plus tard, quand les synapses ne seront plus fumées à la Marie-Jeanne et l’ordre des choses rétabli.
    Zara se débat dans la même idée. Ta main libérée de la sienne, tu te décroches en quelques tortillements et sans trop de mal de ton socle mobile, son attention éparpillée entre la plage et ton acolyte autrement plus guerrière. Toi, dans l’instant, les genoux brièvement léchés par l’écume, c’est encore sur ta tante que ton regard se perd : dégagée de justesse de l’emprise, s’enfuyant vers la promenade en t’abandonnant où tu es - livré à toi-même et le cœur serré, assumant que ta vie a moins de valeur que la sienne.
    Mais maintenant, il faut courir. Entraîné par Zara, la fuite tordue tient plus du réflexe que de la véritable conscience, motivée de peur, de répugnance et de peine. Tu rejoins le sol en dur dans un flou global, incertain du vrai risque encouru, cherchant dans l’horizon approximatif un ou deux visages connus, serrant désormais avec toute l’intensité du besoin d’ancrage la main qui n’a eu de cesse de te retenir, que tu ne veux plus lâcher à ton tour.

trop long, pas lu:

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should've washed this, smells like R. Kelly sheets, but shit, it was ninety-nine cents

Avery Hawking
légère suspicion

Avery Hawking

saisons : 25yo
occupation : détective
myocarde : célibataire ; bi
miroir : topic commun | dream on - Page 2 21bm
faciès & artiste : Tati Gabrielle - awona l'artiste :sob:
victimes : 197


tw : injure, gens armés, bagarrrrre (+ cw c'est pas le plus fonctionnel mais c'est rushed et la limite de mots là... :') )

Tout à t'embrouiller avec la silhouette encapée qui te bloque le passage, panique qui flambe pour se faire rage, frustrée des tragédies qui se jouent partout autour de toi, t'oublies de suivre ce qui arrive à Lauren, quelques pas derrière toi. Lorsque son hurlement tranche l'air déjà saturé de chaos, cris et pleurs qui se font partout écho, il est déjà bien tard. Tu tournes la tête vivement, un pas fait de côté pour te mettre hors de portée et hors de la ligne de mire directe de ton agresseur. Pas là. Regard acéré par la montée d'adrénaline qui sonde le tumulte, la plage qui grouille encore, ressac des kidnappeurs qui repartent, emportent leurs proies vers les eaux noires, insondables et agitées de l'océan comme une marée qui se retire soudain - et tu la vois enfin. Jetée sur l'épaule d'un des ravisseurs et maîtrisée par son emprise trop ferme, inébranlable, malgré ses tentatives frénétiques pour se débattre et le faire lâcher prise - énergie du désespoir qui se sent jusque là mais qui ne sert à rien.

Dans les veines, l'adrénaline pulse, se répand toujours plus à chaque battement du coeur agité. Tu réfléchis pas, agis à l'instinct en voyant les pieds de la silhouette continuer leur avance inexorable, se noyer toujours plus loin dans l'eau. "Lauren!! que tu cries à sa poursuite. Quelques foulées et tes chaussures touchent l'eau, avance plus rapide de n'être ralentie par la force de résistance. T'as la chance, aussi, que les mouvements furieux de Lauren forcent l'individu à ralentir sa marche pour ne pas risquer de perdre l'équilibre - tu forces plus franchement sur tes jambes, pousses plus loin, plus fort. "Eh enfoiré.e !" t'alpagues pour attirer son attention, et tu profites d'une seconde de latence pour plonger en avant. Coup de chance ? T'arrives à lae percuter, mouvement vif pour agripper l'arrière de sa cape. De l'autre main, t'agrippes Lauren, et tu tires brusquement, sur un contre temps en y mettant tout ton poids. Par miracle, la surprise l'a fait relâcher l'étreinte et Lauren dans ta chute, pestant contre la sensation de l'eau de mer, froide contre ta peau, l'équilibre perdu de t'être prise un coup de revers lorsque la silhouette a tenté de te faire lâcher prise à ton tour. "La promenade, vite !" Crié inutilement alors que vous vous remettez sur pied. Un autre miracle ? La silhouette ne vous rattrape pas.


résu + dé:

Georgia Darling
aucune suspicion

Georgia Darling

saisons : Hot Girl Summer all the way / 26 ans
occupation : Smut Author Extraordinaire - Julia Quinn si Lord Bridgerton avait des tentacules et une salive aphrodisiaque
myocarde : En rehab après un abus sévère de Men in Finance,Trust Fund, 6'5, blue eyes
miroir : topic commun | dream on - Page 2 8898d2641cc3019db974fc175542a4578e5a9619
faciès & artiste : Sabrina Carpenter - etangsnrs qui a tellement de talent que j'ai même pas besoin de voir le visage de mon fc pour que ce soit l'avatar le plus magnifique ever. Talent +1200000
victimes : 498


cw; bestioles/angoisse

Ce qui est bien, quand on a peur de penser à ce qui pourrait mal se passer, c’est que lorsque ledit moment arrive, et que tout se passe très mal - c’est généralement trop rapide pour qu’on s’en inquiète autant que lorsqu’il ne se passait rien.
Aussi, tout s’enchaîne très vite.
Les petites créatures continuent de grouiller - elle en pousse une du bout du pied avant qu’elle ne tente l’ascension du Mont Beckett et, devant sentir son attention diminuer, Crabito en profite pour s’agiter entre  ses mains, la pincer - très malpoli - et tenter sa grande évasion.
Il atterrit dans la masse des siens, disparaît à jamais, peut-être rejoindre femme et enfants, ou en profiter pour démarrer une nouvelle existence loin de ses dettes et de ses obligations - qui sait, et, le temps que Gigi ne contemple les dégâts, tout est de nouveau calme à ses pieds.
La marée est passée. Les bêtes s’en sont retournées de là où elles venaient et le sable est désert, immaculé. Et, quelque part, au milieu des cris, de la confusion, de l’angoisse qui monte quant à l’interrogation terrible - toutes ces personnes ?
Le monde se retourne.
Soulevée comme un rien - comme un sac, vraiment, elle finit sur l’épaule massive d’une des énormes brutes qui - maintenant qu’elle en est assez proche pour le constater, sont armées. Les yeux s’écarquillent, la terreur monte. Beaucoup trop proche.
Bien loin de la fiction ou des exercices factices anti kidnapping, se débattre ne sert à rien - l’homme ? - ne bouge pas, seul un aboiement incompréhensible et pourtant très distinct s’échappant de son masque.
Elle voudrait lui répondre, lui hurler de la lâcher, tenter d'appeler à l'aide dans le chaos ambiant - mais rien ne sort.

réumé:

Beckett Reeves
légère suspicion

Beckett Reeves

saisons : 27 ans
occupation : Barman au casino
myocarde : Pansexuel, célibataire, opportuniste
miroir : topic commun | dream on - Page 2 Tumblr_p5ywh3AW5D1rn0sgro2_640
faciès & artiste : Ross Lynch; beautyhurtsmore - sign;awonaa - icons;signfromgod
victimes : 198



Georgia ne répond pas à ta question, et pour cause. La situation devient très vite plus critique. Tes yeux se posent sur un des hommes étranges qui semblent semer la zizanie. Ils sont armés et ressemblent plus à des membres d’une milice du chaos qu’à l’armée de terre ou à de bons samaritains.

Pas le temps non plus d’épiloguer intérieurement sur qui ils sont et pourquoi ils sont là. Tu ressens une présence à tes côtés et tu te retournes brusquement pour voir Georgia emportée par une des brutes, le regard choqué et hagard.

L’homme ne va pas assez vite pour ne pas être rattrapé, alors tu cours dans sa direction.


Arrivé à sa hauteur, tu profites d’un moment d'accalmie pour lui asséner un coup de pied à l’arrière du genou qui le fait trébucher et lâcher sa proie, par la même occasion. Pressé par la situation, tu prends la main de Georgia et tu la tire, peut-être un peu trop brutalement, dans la direction opposée, et vers la sécurité, du moins t'espère.

Spoiler:


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half human
half cosmos

Ligia Velasco
aucune suspicion

Ligia Velasco

saisons : 25 étés
occupation : Employée au Luna Park
myocarde : Éprise de Liberté / Volage Hetero un brin Curieuse
miroir : topic commun | dream on - Page 2 Brown_10
faciès & artiste : Ester Exposito by me
victimes : 293


Cette soirée n'a vraiment ni queue ni tête. Enfin la tête s'est fait la malle avec ses cheveux, techniquement. La trogne un peu abrutie, Ligia peine à détacher son regard de la perruque montée sur pattes qui s'éloigne rapidement, démarche oblique typique de l'animal. L'Andalouse frissonne, se met à se gratter frénétiquement, les bestioles qui grouillent autour d'elle comme coupables. Et voilà que le "type" devant elle se met à baragouiner quelques mots incompréhensibles. Ligia lève un regard ahuri vers la silhouette baignée d'ombres. ”De... de quoi ? Excusez moi ?”. Nouveaux mots tout aussi nébuleux qui s'échappent des lèvres, l'intonation agressive. Les sourcils se froncent sur les traits défaits de l'espagnole qui tente de connecter les deux neurones qui restent encore actives dans son crâne à l'instant T. ”Je... putain mais je comprends rien. Vous voulez quoi ?”. L'œil agard ballaye les alentours immédiats, cherche ce qui peut interesser l'homme. Au loin, les cris s'élèvent, plus près, les cadavres.. ont disparu... ”Oh putain ! Mais... ” sursaute-t-elle, l'angoisse plaquée sur sa tronche tandis qu'elle se redresse. ”Il... il sont où... les gens ? !” Et l'autre qui continue d'ânonner des mots totalement incompréhensibles.  

”Mierda ! Mais je pige rien a ce que vous me crachez la ! J'sais pas, changez de disque ou de langue, faites moi des signes, écrivez... JE... COM...PREND... QUE.... DALLE ! NO COMPRENDO... Don't understand..  MERDE !” qu'elle s'énerve, le stress monté en flèche dans ses veines échaudées par la peur, la colère en guise de bouclier. Jusqu'à ce que l'autre con agite brusquement son arme sous son nez.   ”Hiiiiiiiiiiii !” qu'elle hurle en levant les bras. ”Pardon, monsieur !” murmure-t-elle tandis qu'un autre s'adresse au menacant dans sa langue incompréhensible.

La discussion s'allonge a coté d'elle, Ligia piétine discrètement, n'ose bouger un doigt, les crampes envahissant peu a peu ses bras. Tremblante, elle avise le feu de camp, un sourire forcé plaqué sur ses traits. ”Ahem... Moi, je.... je vais rester là pour .. raviver le feu, parce que des fois il se déravive, hein.” lance-t-elle en esquissant un déplacement en crabe. C'est de bon ton après tout.

Spoiler:

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• I want to feel sunlight on my face •


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